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S’informer sur les signes de la privation de sommeil

 

Se rendre de compte de signes de la privation de sommeil permet d’adapter son comportement afin d’enrayer ce processus qui peut quelquefois amener à des situations dangereuses.

Le sommeil est essentiel sur un plan biologique, il permet d’assurer une veille efficace la journée et de mettre en scène plusieurs actions métaboliques nocturnes. Les signes de la privation de sommeil apparaissent dès lors que cet équilibre est modifié et que le cerveau et l’organisme ne peuvent plus suivre. Le sujet ressent alors des symptômes qui peuvent aller de la simple fatigue à l’accident causé par une somnolence diurne.

 

Les causes des troubles du sommeil :

Les signes de la privation de sommeil peuvent avoir plusieurs causes : des horaires de travail qui vont obliger le sujet à se lever très tôt ou à s’endormir très tardivement faussant ainsi son horloge interne, le travail de nuit qui induit un manque de sommeil chronique, les soucis, le stress, l’anxiété et la pression sociale qui vont provoquer un endormissement tardif et un sommeil entrecoupé, la télévision, les jeux vidéo, l’ordinateur qui empêche un coucher à une heure raisonnable et ne favorisent pas un sommeil récupérateur.

 

Les symptômes :

Les symptômes et signes de la privation de sommeil ne tardent pas à se faire ressentir. Troubles de l’humeur, nervosité, somnolence, manque d’appétit, maux d’estomac, constipation, difficulté à se concentrer et donc diminution des performances, douleurs musculaires, émotivité exacerbée qui peuvent conduire petit à petit à un syndrome dépressif.

 

Les incidences :

Il faut environ et selon les cas sept heures au moins de sommeil par nuit pour ne pas être en dette de sommeil et avoir à en subir les conséquences sur le corps. Dans les cas contraires, des signes de la privation de sommeil vont apparaître et occasionner des perturbations de différentes intensités de gravité.

Des études ont démontré l’influence du manque de sommeil sur les risques d’obésité et de diabète liés à une altération dans l’organisme du glucose. La personne en manque de sommeil sera fatiguée dans la journée et ne pratiquera pas d’activité physique, elle préfèrera opter pour une sieste rendant l’endormissement de la nuit suivante plus difficile. Ce cercle vicieux nuit à une récupération physique et perturbe le cycle circadien.

 

Les conduites à adopter :

Aux vues de signes de la privation de sommeil, il faut adopter une hygiène de vie plus régulière. Un coucher et un lever à des heures normales, une activité physique au moins trois fois par semaine, une alimentation saine et équilibrée composée d’un repas léger le soir.

Recourir à des tisanes avant l’endormissement ou à des séances de relaxation ou de yoga peut avoir un effet bénéfique et améliorer le rythme du sommeil.